comme annoncé, nous organisons un repas paroissial le dimanche 21 février au Foyer d’Ars à 12h30.
Au menu : couscous, dessert et café pour la somme de 15€ (boisson non comprise).
Il est impératif de s’inscrire le nombre de places étant limité soit par :
- tél : 03 87 60 33 36
- mail : arslongeville@gmail.com
- SMS au 06 71 55 00 16
Une délégation des églises protestantes coréennes au culteCe même jour, au culte à Ars, nous recevrons une délégation de protestants coréens dont le pasteur Kim Sam Hwan modérateur de l’Eglise presbytérienne de Corée. Un verre de l’amitié à l’issue du culte permettra de faire plus ample connaissance.
Un peu d’Histoire
Le protestantisme est la troisième religion en Corée du Sud, il s’est considérablement développé. Le protestantisme a promulgué de nouvelles valeurs comme les droits de l’homme, la liberté, l’égalité pour tous les Coréens. Au sortir d’une société essentiellement confucéenne, ces nouveaux dogmes ont surtout profité aux personnes des classes inférieures et aux femmes qui supportaient une morale implacable plutôt opprimante.
Pendant la colonisation japonaise (1910-1945), les protestants durent supporter de sévères persécutions. Le protestantisme a retrouvé ses libertés après la libération du pays en 1945, depuis, l’organisation n’a cessé d’évoluer et de s’implanter dans tout le pays. Le protestantisme coréen fêta son 100ème anniversaire en 1984.
Selon un sondage réalisé par l’office national coréen des statistiques en 1985 sur un panel de coréens pratiquants, 38% étaient protestants, ce qui fait du protestantisme l’une des trois religions majeures du pays avec le catholicisme et le bouddhisme. Les principales branches sont luthériennes, anglicanes, méthodistes, presbytériennes, et baptistes.
Les églises protestantes coréennes envoient de nombreux missionnaires en occident pour le « rechristianiser ».
Les Eglises coréennes en France
En avril 2010, dix communautés parisiennes et une communauté lyonnaise dont huit presbytériennes constituant une association à caractère fédératif ont adhéré volontairement à la Fédération protestante de France (FPF). Elles veulent coopérer avec l’instance nationale du protestantisme français. Pragmatiques, elles bénéficient de cette manière d'une protection juridique et de prêts de locaux.
